Stade Ernest-Wallon

Profitez-en pour découvrir l’histoire de ce club né en 1907, l’un des plus anciens de France, qui fait la fierté et l’âme de la ville.

À deux pas, d’autres trésors encore avec les demeures Renaissance de Seguy, Dumay, Berny et l’hôtel d’Assézat avec ses loggias, ses fenêtres à meneaux et ses colonnettes sculptées. Un véritable musée à ciel ouvert mais aussi un quartier plein de vie avec ses bars, ses boutiques, ses galeries d’art et de design.

C’est en effet en 1995 que le chef star de Toulouse a ouvert son restaurant éponyme pour régaler ses fidèles d’une cuisine locale, mêlée de quelques inspirations voyageuses. Une gastronomie de haut vol qui lui a permis de décrocher deux étoiles pour cette belle table où l’on déguste, chaque midi, un menu d’exception baptisé « Le Capitole ». Dans l’assiette ? Une soupe crémeuse de haricots tarbais au lard fumé et au foie gras, une salade de nems de gambas aux champignons noirs et gingembre, un agneau de sept heures aux légumes anciens et une poire caramélisée à la vanille, rehaussée d’une crème au chocolat Dulcey. Une découverte exceptionnelle pour 60 euros seulement ; à ne rater sous aucun prétexte !

On goûte ici une cuisine concoctée avec amour et savoir-faire : incontournables confit de canard et cassoulet, noix de Saint-Jacques à l’huile de truffe et copieux plateau de charcuteries « Monsieur Georges » à partager, sans oublier le riz au lait, à tomber. A savoir, ce bistrot est aussi le fief des amateurs de rugby avec des troisième mi-temps qui durent jusque tard (très tard !) dans la nuit.

Au menu ? Cassoulet avec haricots de la famille Patacq, jarret de porc noir de Bigorre confit, saucisses de Toulouse faites maison… Le lieu abrite aussi un bar à cocktail (le Pivolo), un bistrot-salon pour grignoter des tapas en sirotant un verre de vin et deux grandes terrasses qui ouvrent sur l’une des places les plus les plus sympas de la ville.

Définitivement fermés en 1995, les Abattoirs sont alors transformés en musée, bénéficiant d’un ajout incroyable -une salle creusée sous la Garonne et destinée à abriter un chef d’œuvre : le rideau de scène réalisé en 1936 par Pablo Picasso pour le théâtre de la ville, à l’occasion de la représentation d’une pièce de Romain Rolland. Un pastel de 8m sur 13, témoin de la Période Bleue de l’artiste. Le reste de la collection est à la hauteur de ce trésor avec 2500 œuvres -Arman, César, Duchamp, Dubuffet, Combas, Mappelthorpe… Egalement de remarquables expos temporaires, des concerts, des conférences et une belle esplanade qui domine la Garonne.

À deux pas, d’autres trésors encore avec les demeures Renaissance de Seguy, Dumay, Berny et l’hôtel d’Assézat avec ses loggias, ses fenêtres à meneaux et ses colonnettes sculptées. Un véritable musée à ciel ouvert mais aussi un quartier plein de vie avec ses bars, ses boutiques, ses galeries d’art et de design.

En plein cœur de la ville, le Downtown restitue l’esprit de la Factory d’origine avec une programmation assurée par ses DJ’s résidents mais ce nouveau lieu abrite un bar, un coffee-shop, une vaste terrasse et un restaurant de 80 couverts où l’on grignote, installés sur de petites tables prudemment espacées, tapas, burgers, pokebowls et autres BBQ ribs. Une mention toute particulière également pour l’excellent brunch du week-end.

On prolonge la soirée en savourant des tapas -jambon serrano, croquettes de morue ou de chorizo sublimes- et on rejoint la piste de danse quand l’ambiance devient plus électrique. Et le meilleur est à venir car le Bar Basque est avant tout le QG incontournable pour vibrer en chœur à chaque victoire du Stade toulousain, et participer à la troisième mi-temps, là encore jusqu’à l’aube.

On aime les céramiques marseillaises de Monochronic, les luminaires de la marque bordelaise Septembre, les créations en bois venus tout droit du Tarn&Garonne, les briquettes aux noms des quartiers toulousains de La brique de mon Païs, les produits de soin bio de Malou & Marius, les bougies bio de la maison Fariboles. Un choix très large de produits, minutieusement choisis et parfaitement sourcés.

Nous adorons le spectacle « Toulousain » qu’ils reprennent régulièrement ; satyre très drôle et très juste de l’esprit local.

Vous découvrirez non loin la Maison de la Violette et ses bonbons aromatisés ; chez Bacquié et ses cassoulets et confits de canard vendus à l’ancienne dans des bocaux. Cap ensuite vers la boulangerie Saint Georges pour goûter aux Fenetras, gâteaux à base de pâte d’amandes meringuée et de citrons confits. Et le meilleur est encore à venir avec la découverte des marchés de la place des Carmes ou celui de la place Victor Hugo, où il ne faut pas manquer les étals de charcuterie de la maison Garcia et ceux du fromager chez Xavier.

Adresses :

Paradis Gourmand, 45 rue des Tourneurs. Toulouse. Tél 05 61 22 05 77

Maison de la Violette, péniche sur le Canal du Midi, 3 Bd Bonrepos. Tél 05 61 99 01 30.

Chez Bacquié, 5 place Victor Hugo, Toulouse. Tél 05 61 23 39 87

Boulangerie Saint-Georges, 6 Place Saint-Georges, Toulouse. Tél 05 61 22 71 19

Nichée à l’intérieur de l’ancien château d’eau de la ville construit en 1823, cette galerie a été imaginée par Jean Dieuzaide (photographe et co-fondateur des Rencontres d’Arles) qui y a exposé Doisneau, Brassaï, Cartier-Bresson ou Elliott Erwitt.